Je cours le Marathon de Paris : les Conseils de Jérôme Sordello – Séquence 2 : j’évite les blessures

Pour courir mon premier Marathon, je crains les blessures qui pourraient mettre un terme à mon objectif. Ma préparation se passe bien mais je ressens parfois la fatigue et quelques douleurs apparaissent.

Comment éviter la blessure physique ?

Diverses causes peuvent être avancées pour expliquer l’apparition d’une blessure : le poids, le volume d’entraînement, la raideur des ischio-jambiers, les chaussures, le type de surface, le dénivelé ou encore le passé traumatique du sportif. Le risque de blessure est lié à un changement trop important ou trop rapide, c’est-à-dire sans progressivité. C’est pourquoi la progressivité dans l’entraînement est le meilleur moyen d’éviter la blessure.

Quelles sont les blessures les plus courantes ?

Selon une statistique, les blessures les plus courantes sont : le syndrome rotulien, la périostite tibiale, la tendinite d’Achille, l’aponévrose plantaire, la tendinite rotulienne, la bandelette ilio-tibiale (syndrome de l’essuie-glace), la fracture de fatigue des métatarsiens, la fracture de fatigue du tibia, la tendinite du jambier postérieur et des péroniers latéraux.

Quelles sont les conséquences d’une blessure dans la préparation ?

Une limitation de la charge d’entraînement et une révision des objectifs à la baisse. Cela peut aussi être l’arrêt de l’entraînement et l’incapacité à courir le Marathon de Paris le jour-J.

Faut-il courir le Marathon lorsqu’une blessure apparaît à l’approche de la course ? Peut-on prendre le risque ?

Il est préférable de ne pas prendre part à la course sous peine de voir la blessure s’amplifier et d’allonger la période d’indisponibilité sportive.

Quelles blessures peuvent apparaître pendant la course ? 

Potentiellement toutes, même si les plus courantes sont les contractures ou le syndrome de l’essuie-glace.

Pour en savoir plus :

La Bible Du Running

Jérôme Sordello

Editions Amphora

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